Avant qu’un chinois reprenne une usine française, il voudra d’abord s’assurer qu’il peut sans menace de poursuites judiciaires menacer de mort les familles des leaders syndicaux, licencier tout l’effectif en place et engager des roumains payés à l’année s’ils sont sages, avant de déménager toutes les machines pour la Bulgarie au bout de 2 ans, au frais de l’Etat Français.
On n’imagine pas le degré de corruption du « capitalisme » communiste chinois, qui est un cloaque.